Travail

Travaillisme , stigmatisation dans les médias mainstream et « placardisation » dans la Fonction publique territoriale (FPT)
Travaillisme : Vouloir faire travailler plus celles et ceux qui travaillent déjà, que ce soit 30 ou 35 ou 37 h hebdo - C’est un contre-mouvement réactionnaire face à la tendance historique de RTT.
La vidéo du MEDIA de l’été 2019 contre le « travailler pour travailler » (comme il y a le « produire pour produire » - pour la finance, pas pour les besoins sociaux) a le (…)

Le Collectif Roosevelt formule de multiples propositions pour l’emploi, notamment :
– Elever le niveau de qualification de l’ensemble des actifs par la lutte contre l’échec scolaire et le développement de la formation continue ;
– Développer les emplois de la transition énergétique ;
– Réduire le poids de la finance sur l’économie réelle ;
– Redistribuer équitablement le travail pour s’attaquer simultanément au chômage, à la précarité, aux temps partiels subis et au sur-travail. (…)

Contre le travaillisme des uns et le chômage des autres, un autre code du travail.
Le Code du travail (français) n’est plus celui que j’ai étudié jadis en faculté de droit. Ce n’était déjà pas simple à étudier à l’époque, c’est devenu un véritable maelström. Mais il ne s’agit pas simplement de simplifier (comme on entend souvent) car il importe surtout de « réguler » autrement, de mieux répartir le travail et l’emploi entre tous et toutes ainsi que les richesses (moins tout en-haut, plus (…)

Le revenu d’existence ou l’impensé sur le travail
Jean-Marie Harribey
Le texte ci-dessous a été publié par lemonde.fr, 20 octobre 2014. [1]
Dans le Monde Éco&entreprise daté du 11 octobre 2014, Yves Zoberman propose un « Plaidoyer pour un revenu d’existence européen ! » Impossible de lui contester la réalité de la crise qui plombe le social, l’économie, l’écologie et par dessus tout, pourrait-on ajouter, la démocratie. Mais les arguments en faveur de cette proposition afin de (…)

Le travail dans tous ses états
De la tâche prescrite au réel, le grand écart
Patricia Tejas, dirigeante de la CGT finances, pointe la source fondamentale du mal-être des fonctionnaires des impôts.
« On subit, dans la fonction publique, les logiques capitalistes de rentabilité et les valeurs éthiques des salariés en sont percutées.  » C’est ainsi que Patricia ­Tejas, secrétaire générale de la ­fédération des finances CGT, explique la souffrance au travail. Une souffrance qui, selon (…)