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Bernard DEBRE, un « coincé » doublement odieux. C Delarue

lundi 16 mai 2011, par Amitié entre les peuples

Bernard DEBRE, un « coincé » doublement odieux.

1) Contexte :

Strauss-Kahn est arrêté pour agression sexuelle à New York. On ne parle plus que de çà depuis le 14 mai. Certains avancent alors le respect de la présomption d’innocence. Certes. Mais Clémentine AUTAIN (et d’autres) souligne aussi la nécessaire « présomption de victime » de la femme de chambre...

2) Revenons à Bernard DEBRE.

Son accusation « DSK se vautre dans le sexe » montre d’une part qu’il méprise la présomption d’innocence et d’autre part qu’il confond « aimer les galipettes » et violer ou abuser sexuellement d’une personne non consentente.

Enfin, son appréciation montre son profil de « coincé de la libido », ce qui est son problème, du moins tant qu’il se met pas à juger les autres publiquement et nommément !

En complément, je reproduis un passage plus virulent que le mien : DSK et l’homme primaire.

« Et puis couper symboliquement les couilles du premier connard venu qui se croit autoriser à utiliser politiquement une situation et se permet pour ce faire les pires amalgames, évoquant un homme qui se vautre dans le sexe. Expliquer à Bernard Debré qu’il n’est pas criminel d’aimer le sexe et de l’aimer passionnément, démesurément et vouloir s’y vautrer avec délectation et volupté. Que DSK soit de ceux-là ou non ne regarde personne d’autre que lui-même et sa ou ses partenaires, pas plus que ne nous regarde le fait que Bernard Debré ait ou non un problème avec sa sexualité, qu’il en ressente ou non une grande angoisse ou une grande frustration. »

Christian DELARUE