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Violences et insultes contre la « population majoritaire » ou le « groupe perçu comme dominant ». C Delarue
samedi 13 avril 2013, par
Violences et insultes contre la « population majoritaire » ou le « groupe perçu comme dominant » (ici les Blancs).
Voici un passage d’un document du MRAP qui n’a pas été beaucoup lu semble-t-il, y compris au sein du MRAP, et qui devrait permettre de relativiser la critique faite à cette organisation antiraciste, notamment à propos de deux courtes lignes de congrès sur le racisme anti-blancs.
"Aujourd’hui, aucun chercheur, aucune association antiraciste de terrain ne conteste l’existence de violences ou d’insultes à l’encontre de « la population majoritaire » pour reprendre la terminologie de l’INED ou, plus précisément, le groupe perçu comme dominant. Un phénomène qui apparaît dans l’enquête « Trajectoires et origines » menée par l’INED et à partir de laquelle travaillent encore des chercheurs.
Il nous est expliqué que 16% de « la population majoritaire » a vécu une situation raciste. Ces chiffres, tout autant que la nature de ce racisme, disons-le haut et fort, sont sans commune mesure avec ceux relatifs aux populations noires, arabes, roms etc., qui subissent des discriminations dans le travail, le logement…, ce qui n’est pas le cas du groupe perçu comme dominant."
Lire en entier ce texte sous le nom et lien ci-dessous :
Racisme anti-blanc : un débat tronqué ou le théâtre d’ombres de la lutte des races. — Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples