P TEVANIAN : Quid de la Mécanique mortifère de l’intégrisme religieux sexoséparatiste.

P TEVANIAN : Quid de la Mécanique mortifère de l’intégrisme religieux sexoséparatiste ?

L’oppression sexoséparatiste des intégristes religieux juifs haredim ou musulmans agissant pour un hyper-patriarcat est à combattre.

J’emploie le terme « Mécanique » à Pierre TEVANIAN (cf son La Mécanique raciste) qui fait silence contre les intégristes religieux.

Je suis de ceux qui plaident pour ne pas faire silence sur cette oppression mondialisée en lien avec les intégrismes religieux, notamment celui musulman le plus diffusé de part le monde.

Commençons par une définition qui distingue une différence d’une oppression subie.

L’oppression est l’utilisation du pouvoir d’affecter, de marginaliser, de subordonner un groupe ou une catégorie sociale, souvent afin de renforcer le pouvoir et / ou privilégier l’oppresseur.

L’intégrisme religieux sexoséparatiste (renvoi ici) se comprend au sein d’un rapport social d’oppression sexiste (RSOS) dans un cadre familial ou de micro-quartier avec une micro-physique du pouvoir (M Foucault). Ici l’oppresseur est l’intégriste (homme croyant autoritaire mais aussi femme complice reproduisant la mécanique patriarcale sexoséparatiste oppressive et aliénante) et l’opprimé est la croyante (comme catégorie) soit celles qui sont contraintes à rester chez elles et à sortir sous voile et jupe ultra-longue. Et ce constamment . L’oppression porte aussi contre des femmes non croyantes à qui ces intégristes demandent de se couvrir sans cependant imposer le voile ou la jupe ultra-longue.

Même les très jeunes filles de 5 ou 6 ans sont soumises à l’hypertextile. C’est un très lourd conditionnement du corps et des esprits des jeunes filles pour soumettre et aliéner la future croyante.

L’idéologie sexoséparatisme se combine à une sexyphobie montante (qui n’est pas que le fait des intégristes religieux) qui par divers moyens (injures sexistes de rue, attouchements, etc) imposent aux jeunes femmes et aux femmes de se couvrir sans cependant leur imposer un voile ou une jupe longue.

Christian DELARUE