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GJ : Plus pour en-bas, moins pour en-haut ! 1

vendredi 28 décembre 2018, par Amitié entre les peuples

Gilets jaunes : Plus pour en-bas, moins pour en-haut !

1 er texte.

Tous les Gilets jaunes ne se mobilisent pas en faveur du RIC, du moins du RIC seulement (comme on l’entend souvent - piège) pour changer la « donne démocratique » qui oublie largement le souci des classes sociales populaires (pauvres, modestes, moyennes-basse)

XX

Plus pour en-bas, moins pour en-haut ! C’est la formule redistributive la plus concise pour exprimer ce que doit traduire l’idée de justice sociale et de justice fiscale !

http://amitie-entre-les-peuples.org/GJ-Plus-pour-en-bas-moins-pour-en-haut?var

En terme de pouvoir d’achat

Face aux prix qui grimpent plus vite que les salaires , augmenter les salaires et traitements du peuple-classe, autrement dit des 99% d’en-bas ! Et pas du 1% qui a déjà bien assez et même de trop pour une large fraction du dit 1% !

En terme de fiscalité  :

Les impôts (ISF et IR) doivent ponctionner les tranches supérieures (à augmenter car trop peu nombreuses) à proportion des facultés contributives afin de dépenser pour construire des services publics en capacité de satisfaire les besoins sociaux ! Certains services doivent être hors du marché donc sur des bases tarifaires comprenant du très bas prix ou même du gratuit.

L’impôt sur les sociétés doit être repris et harmonisé pour les pays de l’UE. Si on veut éviter un Frexit alors voici une piste.

Il faut aussi combattre la fraude des riches qui placent dans les paradis fiscaux.

Annuler la dette illégitime.

La dette profite surtout aux riches, donc surtout pour le 1% d’en-haut ! Audit et annulation sélective !

Contre-exemple  :

Le Mexique est le pays de l’OCDE qui a le moins de recettes au budget et c’est aussi le pays ou l’insécurité physique (violences et agressions fréquentes) fait concurrence à l’insécurité sociale (mal logement, chômage, misère, bas salaire,etc) faute de services publics et de sécurité sociale, deux atouts français, qui furent tampons de la crise financière de 2007-2008.

Premier texte car d’autres développements sont en débat.

Christian Delarue