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Loi RESEDA : 20 ans après un archaïsme fatal perdure. Christian DELARUE

vendredi 11 mai 2018, par Amitié entre les peuples

Loi RESEDA, 20 ans après, un archaïsme fatal perdure.

La loi RESEDA dite loi Chevènement date du 11 mai 1998, un anniversaire qui est à placer - non comme celui d’ATTAC France qui va fêter ses 20 ans prochainement - sous le signe d’un « archaïsme fatal » (cf livre de 99 sur les « Sans-papiers » à la Découverte).

Pourquoi ? Eh bien parce que cette loi de national-républicanisme n’a pas été un progrès (d’après plusieurs organisations ) par rapport aux lois Pasqua-Debré et qu’elle n’a pas amélioré la condition de réception et de vie des migrants par rapport aux lois antérieures.

Les lois suivantes n’ont pas fait mieux. Il y a bien pour ce pays un « archaïsme fatal » sur ce champ. Si l’ouverture au monde fait parti du « roman national » c’est alors plus pour les choses (marchandes) que les humains (défavorisés ou violentés).

Christian DELARUE

Addendum
Motion ATTAC de l’AG 2018 sur les migrations dans la mondialisation